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Das Klassenfoto
Julia. – Sieh dir doch mal dieses Foto an, Ute! Das ist unsere Abiturklasse, vor neun Jahren…
Ute. – Na sag mal, ist das schon so lange her?
Julia. – Tja, die Zeit vergeht… Guck mal, ist das nicht Peter?
Ute. – Ja genau! Den fand ich eigentlich immer sehr nett.
Julia. – Nein, mir war Wilfried am liebsten… hier, siehst du, in der zweiten Reihe.
Ute. – Wilfried? War der nicht unsterblich in Maria verliebt?
Julia. –Du hast Recht. Aber Maria gefiel er nicht. Sie stand mehr auf Ralf.
Ute. – Ralf? Moment, das ist er doch hier, der mit dem Schnauzbart und den langen Haaren, oder?
Julia. – Ja. Er sah wirklich süß aus, das muss man ihm lassen.
Ute. – Hast du nicht auch für ihn geschwärmt damals?
Julia. – Für Ralf? Nein. Da war mir Werner lieber, er hatte so niedliche Sommersprossen. Hier steht er in der letzten Reihe, erkennst du ihn?
Ute. – Stimmt, das ist Werner. Er war mir aber nicht besonders sympathisch. Weißt du, für wen ich damals geschwärmt habe?
Julia. – Heraus damit!
Ute. – Für Karsten. Aber er war leider nicht in mich, sondern in Fußball verliebt!
La photo de classe
Julia. – Regarde cette photo, Ute ! C'est notre classe de terminale, il y a neuf ans…
Ute. – Ben dis donc ! Cela fait déjà si longtemps que ça ?
Julia. – Eh oui, le temps passe… Regarde, c'est pas Peter ?
Ute. – Oui, très juste. Je le trouvais plutôt sympathique, celui-là.
Julia. – Non, moi, je préférais Wilfried… regarde, il est là, au deuxième rang.
Ute. – Wilfried ? Ce n'est pas lui qui était fou amoureux de Maria ?
Julia. – Tu as raison. Mais il ne plaisait pas à Maria. Elle lui préférait Ralf.
Ute. – Ralf ? Une seconde, c'est bien lui, là, avec la moustache et les cheveux longs ?
Julia. – Oui. Il était vraiment craquant, il faut dire ce qui est.
Ute. – Tu n'avais pas un faible pour lui, toi aussi ?
Julia. – Pour Ralf ? Non. Je préférais Werner, il avait des taches de rousseur très mignonnes. C'est lui, là, au dernier rang, tu le reconnais ?
Ute. – Oui, c'est Werner. Mais il ne m'était pas particulièrement sympathique. Tu sais pour qui j'en pinçais, moi ?
Julia. – Allez, dis-le !
Ute. – Pour Karsten. Mais malheureusement, ce n'est pas de moi qu'il était amoureux, mais du foot !
Génial !
Continue comme ça.
Tu y es presque.
Essaie encore une fois.
Tu devrais réessayer.
Bravo !
Félicitations !
Parfait !
Très peu d'erreurs.
Quelques erreurs.
Trop d'erreurs.
Beaucoup trop d'erreurs.
