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Sul marciapiede un cane ha lasciato la traccia del suo passaggio...
Il signore. – Ma non la smetteranno mai? Sono stufo di vivere in una pattumiera! (Rivolgendosi ad una signora che gli si affianca.) Signora, ha visto? Se non fossi stato attento a dove mettere i piedi, mi sarei sporcato le scarpe.
La signora. – Ma, scusi, signore, non è mica colpa di quei poveri animali.
Il signore. – E chi parla dei cani? Io condanno i proprietari!
La signora. – Si vede che Lei non ha animali a casa. Sa, non è poi tanto facile abituarli a tener conto delle esigenze di persone come Lei.
Il signore. – E che vuol dire questo discorso? Che tutti debbano tenere un cane o un gatto a casa e imporli a tutta la società? Se capisco bene, Lei, un cane ce l'ha e se ne frega di sporcare i marciapiedi dove quelli che preferiscono gli esseri umani agli animali riescono sempre più difficilmente a camminare.
La signora. – No, signore. Io non ho un cane. Ne ho tre. E devo dire che non li ho mai visti arrabbiati come Lei. Su, si calmi! La sentono gridare in tutto il quartiere.
Sur le trottoir, un chien a laissé la trace de son passage.
L'homme. – Mais, ça ne cessera donc jamais ? J'en ai assez de vivre dans une poubelle ! (S'adressant à une femme qui arrive à sa hauteur.) Vous avez vu, madame ? Si je n'avais pas fait attention à l'endroit où je mettais les pieds, j'aurais sali mes chaussures.
La femme. – Mais, monsieur, ce n'est quand même pas la faute de ces pauvres animaux !
L'homme. – Et qui vous parle des chiens ? Ceux que je condamne, moi, c'est leurs maîtres.
La femme. – On voit bien que vous n'avez pas d'animaux chez vous. Vous savez, il n'est pas si facile que ça de les habituer à tenir compte des exigences de personnes comme vous.
L'homme. – Que voulez-vous dire par là ? Que tout le monde doit avoir un chien ou un chat à la maison et les imposer à toute la société ? Si je comprends bien, vous, vous en avez un, de chien, et vous vous en fichez de salir les trottoirs où ceux qui préfèrent les êtres humains aux animaux ont de plus en plus de mal à marcher.
La femme. – Non, monsieur, je n'en ai pas un, de chien, j'en ai trois ! Et je dois dire que je ne les ai jamais vus aussi enragés que vous. Allez, calmez-vous ! On vous entend crier dans tout le quartier.
Génial !
Continue comme ça.
Tu y es presque.
Essaie encore une fois.
Tu devrais réessayer.
Bravo !
Félicitations !
Parfait !
Très peu d'erreurs.
Quelques erreurs.
Trop d'erreurs.
Beaucoup trop d'erreurs.